Chasser le “spleen hivernal”
- Frans en Greta
- 11 nov.
- 1 min de lecture
Jusqu’à il y a environ quinze ans, c’était chaque année la même chose ! Dès le début de novembre, mon moral chutait. Je me sentais mélancolique, découragé et irritable—en d’autres termes, tout sauf le rayon de soleil de la maison. C’était une torture pour ma femme et beaucoup d’autres. Cela a rapidement changé lors de notre premier hiver à Fuerteventura. Arrivé là presque par hasard (voir mon premier article), le soleil et la chaleur m’ont fourni suffisamment de “carburant” pour passer le reste de l’hiver. Maintenant que nous passons nos hivers à Fuerteventura, ce n’est plus un problème, et je ne connais presque plus d’autre façon de vivre l’hiver que sur cette île, où il fait souvent autour de 25 degrés avec un chaleureux soleil à Noël. C’est une sensation assez unique.

Privilégié
J’avais presque oublié à quoi cela ressemblait avant notre séjour à Fuerteventura, jusqu’à ce que je doive soudainement retourner aux Pays-Bas la première semaine de novembre. Jours sombres, mauvais temps, moins de temps dehors. Je me suis retrouvé à nouveau un peu comme avant. En quelque sorte, cela a été un “signal d’alarme.” Je me suis soudain rappelé que j’étais très privilégié de pouvoir passer mes hivers sur l’“île de l’éternel printemps.” Fuerteventura est plus proche de l’Équateur, ce qui signifie qu’il fait jour de 7h15 à 18h05, tandis qu’aux Pays-Bas, c’est seulement de 7h50 à 16h50. J’espère que ce texte apportera du plaisir à ceux qui, comme moi, souhaitent éviter le spleen hivernal ou, mieux encore, le jeter à la poubelle. Croyez-moi, vous vous en porterez mieux !
Frans 🌞



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